Roman – Poche
15 mai 2018
11*16,5 – 144 pages
7,500 DT / 7,50 €
ISBN 9789973581075
Une rapsodie orientale, sur la migration. À méditer.
Quelque part, dans le Sud de la France, un homme remonte le cours du fleuve comme on remonte le cours de sa vie. Reviennent les couleurs et les mots de « là-bas », ceux de la terre natale, sur l’autre rive de la Méditerranée. Mais l’exil c’est, au moment du Dernier voyage, l’absence de ces rites immémoriaux que, dans le livre, trois sœurs mystérieuses et fatales dispensent à ceux qui sont restés au pays.
Le silence des rives est une très belle parabole sur l’exil et la mémoire.
Prix Kateb Yacine
Leïla Sebbar
Leïla Sebbar est née en Algérie d’un père algérien et d’une mère française. Elle vit à Paris. Elle est l’autrice d’une œuvre importante : essais, romans, nouvelles, livres autobiographiques… Aux éditions Elyzad, elle a dirigé les recueils collectifs Enfances tunisiennes (en collaboration avec Sophie Bessis, 2010), Le pays natal (2013) et a publié des nouvelles L’Orient est rouge (2017), finaliste du Prix Boccace de la nouvelle. Ses romans également réédités dans la collection Elyzad poche : Fatima ou les Algériennes au square (2010), Mon cher fils (2012), Prix Femmes de la Ville aux Livres, Creil, Marguerite et le colporteur aux yeux clairs (2014), Parle à ta mère (2016), J.H. cherche âme sœur (2020).